Des soins appropriés pour nos agrumes
Hespérides espérées, oui, mais ... Les Pommes d'Or se méritent à force de bons soins, ce qui -je le reconnais- n'a pas toujours été le cas dans notre jardin.
En terme botanique, on désigne une hespéride comme étant un type de baie possédant un exocarpe (pelure) épais et dont l'endocarpe est scindé en loges.
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En effet, j'ai longtemps considéré - à tort - nos citrus comme étant d'origine africaine ou nord-africaine, méditérranéenne, les imaginant avec un besoin de chaleur torride et d'une sobriété digne d'un chameau. J'étais dans l'erreur sur ces deux points. Les citrus s'avèrent être des plantes subtropicales, originellement asiatiques et donc héréditairement vouées aux climats de mousson : c'est dire s'ils ont besoin de boire ! On va y revenir, mais commençons par l'atmosphère ...
Concernant les températures, leur idéal de confort varie entre 10 à 12 °C pour les moyennes hivernales et de 22 à 30 °C pour les moyennes estivales. Fin septembre-début d'octobre, nos citrus sont rentrés à l'abri dans la serre (non chauffée !). Cet hivernage les protège du vent. Le vent violent et glacial provoque l'avortement des fleurs, la chute des feuilles, le ratatinement et la perte des fruits. Un tel vent a vite fait de réduire en charpie un joli petit citrus, allant jusqu'à le transformer en pitoyable balai-plumeau éplumé ... Donc, gare au vent ! ! ! Les averses de grêle sont tout aussi destructrices et comme elles peuvent se produire, sous notre climat britannique, jusqu'en avril, notre petite collection de citrus est maintenue sous serre jusqu'au début du mois de mai.
L'hivernage dans la serre met aussi nos citrus à l'abri du gel, ce qui est important car les températures négatives, à l'extérieur, risqueraient de leur être fatales. Dès les -3°C, le gel affecte le feuillage, les jeunes pousses et même les rameaux. L'importance des dégâts varie en fonction de la rusticité ("hardiness" en anglais) de la variété considérée. La petite serre offre en principe en hiver cinq précieux degrès de température de plus qu'à l'extérieur. Et jusqu'à présent, je n'ai pas vu les températures négatives descendre en dessous de -3°C. Donc, à priori, dans la petite serre le seuil critique des "moins trois degrès" n'est jamais atteint. Au pire, il y fait toujours deux degrés : on reste dans le froid positif.
Ce froid positif est une bonne chose. Ainsi l'hivernage des agrumes dans une serre hors-gel dont la température varie entre 0 et 12 °C valorisera les fruits des citrus qui en retireront une belle coloration. De même, concernant les fleurs de citronnier, leur formation ne peut avoir lieu sans un séjour à une température inférieure à 13 °C, durant trois ou quatre mois, avec des arrosages réguliers mais restreints durant cette période.
Concernant les températures d'été, les extrêmes ne doivent pas dépasser 36°C sinon le citrus cesse toute activité. Les températures trop élevées détruisent les fleurs, abîment le feuillage et annulent tout espoir de récolte. C'est sans doute la raison pour laquelle notre Combava essaie sans succès de fleurir, ses deux ou trois fleurs se déssèchent à chaque fois prématurément et sa chiche floraison reste alors sans suite. Il a trop chaud l'été dans la serre. Il nous faudra faire en sorte que le lieu ne se transforme plus en fournaise (en ombrant pendant l'été les côtés sud et sud-ouest et en faisant circuler l'air).
L’activité de croissance des citrus commence à 13 °C et se poursuit jusqu’à 36 °C. Il faut accompagner cette activité en renforçant les arrosages dès que la température remonte vers les 13°C. La phase froide doit donc être suivie d'une reprise progressive de l'arrosage (fréquence et quantité), d'une taille légère et d'un apport d'engrais, d'autant que nos plantes sont en pot. Un purin d'algues, fait-maison, est bienvenu (en mars) pour sortir de l'hiver. La taille légère consiste à permettre le passage de l'air, de la lumière et des traitements naturels, au centre du feuillage.
Avant de parler d'engrais, la question de l'eau est fondamentale. L'’agrume est une plante subtropicale qui doit être énormément arrosée, non seulement en été mais tout au long de l'année. Ici, du fait que l'ambiance hygrométrique de la petite serre est assez haute en hiver, un arrosage tous les dix jours devrait suffire. En hiver, surtout si les citrus portent des fruits, l'arrosage est indispensable pour que les fruits fabriquent leur jus (transformation de l’eau par la plante). Par leur respiration, les feuilles évaporent. Donc sans arrosage, bien que persistantes, elles ne vont pas tenir (y compris en hiver).
Par contre, dans la serre où les pots sont placés sur des soucoupes, il ne faut JAMAIS laisser d'eau stagner dans ces soucoupe (après chaque arrosage, il faut les vider plusieurs fois). Je sursois à l'arrosage d'hiver s'il règne moins de 5°C dans la serre : dans ce cas, j'arrose dès que cette température minimale est atteinte à l'intérieur de la serre. Je sursois à l'arrosage estival, à l'extérieur, s'il pleut depuis une semaine ... cela va sans dire !
Top tips on caring for citrus trees throughout the season, including watering citrus, pruning and repotting citrus trees. Watch our video all about caring for lemon, orange, kumquat, yuzu and finger lime trees in the UK.
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Quelques mots sur la taille des agrumes. Une petite taille de nettoyage au sortir de la serre, hop ! Par la suite, je taille autant de fois que nécessaire, mais toujours raisonnablement car les citronniers cicatrisent difficilement. Un peu d'argile en poudre fine sera aidante à ces occasions.
Alors, l'engrais ... j'y viens ! Jusqu'à présent, comme Bénédicte Bachès, je ne nourrissais les citrus qu'à la belle saison. J'utilisais le produit soluble que j'ai en mains ci-dessous, riche en potasse.
Mais ce qu'énonce Mme Bachès pour l'eau me semble aussi valable pour l'engrais : même en hiver, les citrus ont besoin de nourriture. Et ce, d'autant plus que c'est la période où ils sont censés porter des fruits. On trouve maintenant dans le commerce des engrais saisonniers destinés aux citrus (hiver et été). Donc en hiver (d'octobre à février), une fois tous les dix jours, arrosage avec un engrais riche en potasse. En mars, un jus d'algues. A partir de là et jusqu'en septembre, un arrosage hebdommadaire (ou plus en cas de très forte chaleur) avec un engrais plus riche en azote. Lait de cendres et lait d'argile ? Je vais voir ... Ces cinq dernières années, nos citrus ont aussi reçu du purin de consoude (fait-maison) deux ou trois fois durant l'été.
Une promenade au bord de la mer et ... la vigne et les rosiers bénéficieront de ce jus naturel, dilué dans leur eau d'arrosage ! Nos jeunes fruitiers (pommes et poires), les figuiers et avocatiers aussi. Sans oublier les plantes en pots comme nos érables du Japon, par exemple.
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L'engrais que j'utilise est un peu différent, ce n'est pas un engrais en granulés à épandre. Il se solubilise dans l'eau d'arrosage et s'utilise à chaque arrosage (toujours sur des racines déjà mouillées à l'eau claire et jamais sur la motte sèche). Je vais alterner dès à présent mon "vieil" engrais, riche en potasse, et l'engrais d'été, plus riche en azote. D'autre part, sachant que le chlore nuit aux racines, je prépare l'eau d'arrosage en remplissant mon arrosoir la veille ou l'avant-veille. Ainsi l'eau a le temps d'être ventilée et le chlore la possibilité de s'en échapper.
Blog des Agrumes: traite la culture des agrumes, dont on parle de la plantation, fertilisation, irrigation, maladies et variétés.
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I have revised this post to provide more detail because there have been a few enquiries recently about fertiliser requirements for citrus, particularly trace elements. Time to fertilise There is no set time of the year for fertilising citrus as different species produce fruit in different seasons.
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Mais tous ces bons soins ne suffiront pas à préserver nos citrus de la convoitise des nuisibles et des pestes ... qui en raffolent ! Aussi le traitement du feuillage, répété régulièrement, est indispensable. Aussi bien dans la serre qu'à l'extérieur. Jusqu'à présent, c'est le produit ci-dessous, "organic" (c'est-à-dire compatible avec la culture Bio - d'ailleurs tout comme l'engrais) qui a démontré son efficacité (et son inocuité) sur nos citrus.
Mais cette efficacité, en Bio, n'incluait pas l'éradication des chenilles. Il nous a donc fallu utiliser ponctuellement un deuxième produit à chaque fois que nous avons constaté les dégâts des dévoreuses.
Comme le premier produit, l'anti-chenille (de la marque Grazers, "New G3 Formula") est compatible avec un mode de culture Bio. Mais comme le premier, s'en servir n'est pas ce qu'il y a de plus rapide puisqu'il y a au préalable un dosage et une dilution à faire. Il est d'utilité un peu tardive puisque les dégâts sont déjà là ... et parfois importants ! Dans tous les cas, il est désagréable d'avoir à pulvériser deux fois les citrus (d'autant qu'il faut recommencer quelques temps plus tard ...). Cette année j'ai donc décidé de concocter moi-même une lotion "3 en 1" pour nos citrus, à partir de végétaux du jardin. J'ajoute à ces végétaux de l'argile, du savon noir, de l'huile de Neem et quelques aliments que l'on trouve facilement dans le commerce et qui sont dans nos placards (ail, oignon, piment, orange sanguine et citron bio).
Ma recette s'articule en trois parties. La première (photo ci-dessus) se compose de tisanes très corsées (je les laisse infuser 24h) à l'intention des pucerons et des cochenilles. A parts égales, mais séparées, j'y mets cinq plantes du jardin (lierre, fougère, romarin, consoude et eucalyptus. Les opérations sont successivement : cueillette, lavage, broyat, infusion, macération, filtrage, dosage et mise en bouteille (150 mL de chaque tisane dans chaque bouteille). Mes bouteilles ne sont alors remplies qu'aux trois quartset patientent dans le congélateur pendant que je formule la suite de la lotion ... à destination des chenilles, cette fois.
Je me suis inspirée des "recettes" trouvées sur le lien ci-dessus pour élaborer la deuxième parttie de ma lotion. Je passe au mixeur-broyeur l'écorce d'une orange sanguine et de deux citrons bio. Je chauffe dans 1/2 litre d'eau en laissant bouillonner doucement, à couvert, pendant une vingtaine de minutes. Je laisse macérer jusqu'au lendemain avant de filtrer à travers un torchon propre.
Contre les chenilles, j'utilise aussi de l'ail et de l'oignon hachés au broyeur, qui macèrent ensemble, et (à part) une cuillère à soupe de piment sec haché que je laisse tremper dans de l'eau bouillante.
Vient le moment de filtrer puis de mélanger les troix mixtures et enfin de doser 150mL à verser dans chacune des bouteilles (un peu de surnageant d'argile a été ajouté).
La lotion pour citrus se gardera longtemps dans le congélateur. Il me suffira de mettre une bouteille à dégeler la veille de l'utilisation. Le moment venu, je viderai cette bouteille dans le pulvérisateur. Je doublerai alors le volume de mon mélange en ajoutant un litre d'eau dans lequel auront été mélangées 2 cuillères à soupe de savon noir et deux cuillère à café d'huile de Neem. Et ... pschittt, pschitt et encore pschittttt, à commencer par le dessous des feuilles et de préférence en fin de journée. Je vais mesurer cet été 2019 l'efficacité de mon produit et la quantité dont j'ai besoin (bilan en septembre que je viendrai reporter ici). Tous les ingrédients de cette lotion sont naturels, non-polluants et comestibles (à part le savon noir, bien sûr, et les poisons toxiques que sont la fougère-aigle du fait de sa teneur en aquilide A et dérivés de cyanure et le lierre qui contient des saponosides). L'idée étant d'avoir des fruits beaux, propres et sains ... Naturel ne signifie pas pour autant innoffensif. Mais cela n'a rien à voir avec les citrons produits intensivement selon le mode de culture "conventionnel". Les citrons conventionnels font l'objet de traitements pré-récolte (pesticides, fongicides) et post-récolte : ils sont triés, lavés au savon alimentaire afin d'être débarrassés de la poussière qui les recouvre et d'une partie des insecticides qu'ils ont reçus pendant la période de croissance, séchés, puis recouverts d'une pellicule de cire (ce qui les rend plus brillants et évite leur déshydratation) et enfin à nouveau imprégnés avec des fongicides (orthophénylphénol, thiabendazole, imazalil) qui permettent à l'agrume de se conserver plus de 15 jours. Les recherches de variétés favorisant l’étalement de la période de maturité n'empêchent pas le déverdissent artificiel des fruits avec de l'éthylène en chambre froide. Ce processus de maturation artificiel s'applique, selon les législations, sur les fruits satisfaisant à des critères de maturité. Il uniformise l'évolution des agrumes provenant de lots différents et fournit un citron jaune conforme à l'attente du consommateur. Depuis 2011, dans le cadre de sa législation sur les additifs alimentaires, le droit de l'Union Européenne stipule que les colis d'agrumes les plus courants (oranges, citrons et mandarines mais pas les citrons verts, ni les pomelos et pamplemousses) ont l’obligation de mentionner sur l'étiquetage les agents conservateurs et les autres substances chimiques utilisés en traitement post-récolte. Ces faits me confortent dans mon envie de produire nos propres agrumes ...
Nos citrus vivant en pot, le substrat est d'autant plus important. Ils ont été plantés dans un terreau spécial pour agrumes. Les années où ils ne sont pas rempotés, le substrat est "surfacé" (renouvelé en surface). Précision d'importance : les agrumes ne tolèrent pas une once de calcaire, ni dans l'eau d'arrosage, ni dans la nature du substrat.
Le magnésium est très important dans la plupart des fonctions vitales des plantes. La chlorophylle, pigment vert de la plante, est riche en magnésium. Ce dernier participe à la formation et à la mise en réserve des sucres, hydrates de carbone et vitamines.
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Rôle du Zn dans la plante : Le Zinc, fait partie de la protéine enzymatique. Il joue un rôle dans la synthèse des acides nucléiques, dans le métabolisme des auxines. Elément indispensable dans le métabolisme de la plante, le zinc est l'activateur de l'enzyme anhydrase carbonique, enzyme essentielle pour l'utilisation de l'acide carbonique.
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Rôle du fer dans la plante : Le fer intervient d'une manière essentielle dans la respiration, la synthèse de la chlorophylle, la photosynthèse, le métabolisme des protéines, la fixation de l'azote et la réduction des nitrates. Le fer total est très abondant dans les sols, la quantité allant de 200 ppm à plus de 10%.
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Rôle du calcium dans la plante : Le calcium intervient, avec les autres cations (potassium, magnésium) dans la neutralisation des acides organiques et la stabilité des parois cellulaires. Il augmente la résistance des tissus, stimule la croissance des jeunes racines et des bougeons, active la transpiration, neutralise les acides organiques Il participe également aux réactions enzymatiques.
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Rôle du Mn dans la plante : Le Mn est un activateur d'enzymes. Il joue un rôle très important dans la synthèse de la chlorophylle, la photosynthèse, la réduction des nitrates et dans la synthèse des protéines. Le manganèse dans le sol : Dans les sols, la teneur en Mn totale varie de 20 à 6000 ppm avec une moyenne de 600 ppm.
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Pas de calcaire, ni dans l'eau ni dans le solmais il faut par contre du magnésium, du zinc et surtout du bore. Le bore est un élément chimique que l'on retrouve naturellement dans l'environnement, combiné à d'autres éléments pour former des borates. C'est un oligo-élément qui intervient dans tout l'organisme ! Dans l'organisme humain, il participe à l'utilisation des sucres et des graisses. Chez les agrumes, le bore facilite le transport du sucre à travers des membranes et il intervient aussi dans l’absorption de l’eau par la plante. La symptomatologie de la carence ou de l'excès en bore est décrite sur le "Blog des Agrumes".
Rôles du bore dans la plante : La teneur totale en bore des sols varie de 2 à 200 ppm. Mais seulement moins de 5 % du bore total qui peut être sous forme assimilable. Le bore, dans le solution du sol, se trouve surtout sous forme de H 3BO 3 ou comme B(OH) 4.
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J'utilise les œillets d’Indes (ou tagètes ou, en anglais, French Marigold) comme plantes compagnes, pour avoir vérifier leur efficacité radicale contre la mineuse des agrumes (Phillocnistis citrella qui s'en était prise aussi à nos oliviers).
Le terme " mineuses " regroupe plusieurs sortes de chenilles ou d'asticots qui produisent des dégâts apparents sur le limbe des feuilles des végétaux. Elles y tracent des galeries et se développent ainsi dès avril. Plusieurs générations peuvent se succéder du printemps à l'automne. En hiver,...
https://www.aujardin.info
La mineuse des agrumes : maladie agrumes. Identifiez les maladies de vos plantes et soignez-les grâce à nos fiches conseils.
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Le nom " œillet d'Inde " vient de sa ressemblance avec l' œillet commun ( Dianthus caryophyllus), et du fait que la plante a été initialement importée des Antilles, à l'époque où elles faisaient partie de ce qu'on appelait les " Indes occidentales ". On l'appelle aussi " maregold " ou " bonanza ".
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Pour tenir les gastéropodes à distance de mes pots d'agrumes, j'utilise du ruban de cuivre : c'est une barrière totalement efficace que ni les limacees ni les escargots ne peuvent franchir.
1.5 METRE X 25mm Rouleau Limace Ruban en Cuivre Efficace Escargot Anti-parasites - EUR 5,31. Vous pouvez trouver la version originale de la description en anglais, à la suite de la version française, ci-dessous. 1.5 Metre X 25mm Rouleau Limace Ruban en Cuivre Efficace Escargot Anti-parasites Cette fiche produit est originalement écrite en anglais.
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On l'aura vu tout au long de cet article, les agrumistes des Pyrénées Orientales, Bénédicte et Michel Bachès, ont enrichi mes connaissances en matière de Citrus. Je leur suis reconnaissante de toutes les informations qu'ils ont mises en ligne et que je me fais un plaisir de relayer ici (un regret toutefois pour le manque de lisibilité de leur protocole de soins, reproduit tout en bas : c'était le bon vieux temps des photocopies ...).
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