Drôles de vacances !
Voici quelques temps, une grue enjambait la haie pour déposer devant la maison, des parpaings qui ont à être remontés tout en haut du jardin. Opération qu'il nous faut faire à la main (et à pied) en raison de l'inaccessibilité totale de notre ilôt de verdure. J'aime beaucoup qu'aucune voiture ne puisse entrer chez nous (l'entrée du garage donne sur la route) et que notre terrain soit juché en hauteur. Mais la contrepartie en travail à investir est plutôt conséquente. Qu'importe ! nous n'aurons à construire les bacs maçonnés du potager qu'une seule fois, nous n'aurons à creuser le bassin des poissons qu'une seule fois, nous n'aurons à aplanir le sol qu'une seule fois ... Cela n'empêche que l'aide de ma fille m'aura été précieuse, que ce soit pour le transplant d'énormes anciens rosiers ou pour la migration des parpaings, du bas vers le haut du jardin, soit une quarantaine de mètres. Lucie a ainsi charrié aujourd'hui, à la seule force de ses bras, sourire aux lèvres et musique dans les écouteurs, plus d'une tonne de parpaings ! ! ! Et moi, que faisais-je pendant ce temps ? J'ai déplacé cinq cents kilos de sable en suivant le même itinéraire. Oui, à trente ans de différence, la performance n'est pas la même :) Les photos parlant d'elles-mêmes, je ne ferai pas davantage de commentaires .... Avec l'aide de dieu - qui en l'occurence s'appelle Lucie - nous continuerons demain !